Champagne doré dans une petite annonce

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il y a 5 ans

Histoire érotique de champagne doré

Tout a commencé par cette annonce coquine sur un site coquin:

« Pour assoiffé »:

Femme 37 ans, recherche soumis, lécheur infatigable, il sera récompensé en buvant le pipi que sa maîtresse lui fournira abondamment.

PS: il doit impérativement pouvoir recevoir.

La gorge de Louis se noua. Il n’y croyait pas. Il n’y croyait plus, exactement le genre d’annonce coquine qu’il désespérait voir un jour. C’était trop beau, il devait y avoir un truc.

Non, il n’y répondrait pas, sûrement une blague d’un collégien boutonneux, pas question de se faire avoir. Il se f o r ç a à continuer de surfer sur les sites pornos. Sur les pages de son navigateur, les bimbos nues, imperturbables, s’affichaient dans les positions les plus obscènes mais Louis, obnubilé par l’annonce coquine, les voyait sans les voir, son esprit était ailleurs. Plus tard, dans la nuit, lorsqu’il décida d’aller se coucher, il constata une érection de bon aloi. Finalement, il n’avait pas été insensible aux bimbos. S’allongeant sous les draps, il se caressa doucement, puis de plus en plus brutalement. Se connaissant parfaitement, il retardait autant que possible une délivrance qui serait aussi la fin de son délicieux supplice, juste avant de sombrer dans un sommeil réparateur.

Il n’avait pourtant pas de difficulté pour trouver de la compagnie et apaiser sa libido. Il avait trente ans et c’était un bel homme avec une bonne situation. Son problème était qu’il fantasmait sur des pratiques que les gens ordinaires considèrent comme répugnantes voir dégradantes. Les réactions de ses interlocuteurs, les rares fois où il avait essayé, indirectement, d’aborder le sujet, l’avaient refroidi. Ce sujet avait même accentué le malaise dans son ménage et peut-être accéléré la séparation d’avec sa femme.

Le lendemain, jour de semaine ordinaire, Louis se réveilla comme d’habitude vers 7 heures du matin, sa petite érection matinale le mis d’humeur guillerette mais à peine avait-il commencé son petit pipi du matin, que l’annonce coquine lue la veille, s’imposa de nouveau dans son crâne lui imposant une miction de plus en plus difficile à cause de l’érection que cela lui causait. Pour se calmer, il s’eff o r ç a de ne penser qu’aux préparatifs matinaux avant de se rendre au travail.

Dans la journée, son job de cadre dirigeant étant très prenant, il réussit à éloigner l’annonce coquine de son esprit à chaque fois qu’elle voulait s’imposer.

Dès son retour chez lui le soir, il ne put résister à la tentation de se connecter sur le web pour vérifier que l’annonce était toujours là. Elle y était. Pour éviter qu’elle ne continue à lui tarauder l’esprit, il conclut que le mieux était d’y répondre, au moins il n’aurait pas de regrets. Ce qu’il craignait surtout était de tomber dans un piège mais il se dit que, de toute façon, à moins de faire des choses illégales faisant intervenir la justice, la ou les personnes à qui il répondait ne pouvaient localiser que le répartiteur dont il dépendait. Il restait donc anonyme. D’un autre côté, si c’était une blague, personne ne saurait que c’était lui et qu’il s’était fait avoir.

Pour commencer, il créa une nouvelle adresse électronique et écrivit sa réponse dans la foulée. Il rédigea une réponse très déférente afin de multiplier ses chances.

– Madame, votre annonce coquine sur le site m’a interloqué et subjugué. Je pense sincèrement être l’homme que vous recherchez. Je vous demande humblement de bien vouloir m’essayer. Dans le cas où mon offre retient votre attention, sachez madame, que je suis à votre disposition.

Dans l’attente de vous boire.

Louis

La réponse très sèche de la dame mit plusieurs jours pour lui parvenir mais il s’y attendait, c’était de bonne guerre.

– Je n’aime que les hommes libres.

Louis répondit positivement. S’engagea alors un échange de mails plus ou moins bref, chacun essayant de cerner son correspondant sans trop se dévoiler lui-même. Quinze jours après un dernier message, alors que Louis n’y croyait plus. Il reçut un mail lui donnant rendez-vous le samedi suivant et lui ordonnant de s’asseoir sur la terrasse d’un établissement bien connu dans une grande ville située à une cinquantaine de kilomètres de là où il habitait.

Curieux et impatient de voir qui se cachait derrière cette annonce. Il se rendit sur les lieux avec une heure d’avance de façon à se familiariser avec l’endroit et ainsi de mieux repérer les événements suspects. Laissant sa voiture sur le parking de la gare, il fit deux ou trois fois le tour du bistrot. Dix minutes avant l’heure, il s’installa sur une table d’où il pouvait surveiller les allers et venues. L’heure du rendez-vous était déjà largement dépassée lorsqu’une jeune femme s’approcha de sa table.

– Louis ?

– C’est moi.

Il se leva pour accueillir cette femme qu’il avait déjà aperçue quelques minutes auparavant mais il avait conclu que ce ne pouvait pas être la femme qu’il attendait. Elle avait l’allure banale de la ménagère de moins de cinquante ans chère aux sondages, pas très grande, le jeans serré autour d’un attendrissant petit ventre rond caractéristique des femmes ayant materné, un visage plutôt avenant, jolie? Peut-être, il ne saurait dire. Bien que l’on ne s’attende pas à rencontrer un top modèle, on est toujours surpris par une personne que f o r c é ment on imaginait différemment. Galamment, il se précipita pour lui présenter un siège. D’entrée, elle attaqua:

– Je m’appelle Solange mais tu m’appelleras madame. Je t’observe depuis quelques minutes déjà et je te trouve plutôt pas mal, mais ne te fais pas d’illusion, il me suffit de claquer des doigts pour en avoir une demie douzaine comme toi à mes pieds.

Solange marquait son territoire sachant très bien que ce qu’elle offrait ne courait pas les rues. Cela sembla marcher, Louis se fit tout petit, s’eff o r ç a nt de se rendre minable en lui montrant qu’il acceptait son statut avec servilité, à grand renfort de « Madame », proposant poliment de commander une boisson, en s’inquiétant du bien être de « Madame ». D’une voix plus assurée qu’elle voulait autoritaire, Solange commença un interrogatoire en règle.

– Quelles sont tes motivations?

Suivirent une série de questions sur son expérience de l’uro, du butinage de sexe féminin, sur ses limites, sur sa disponibilité etc.… Solange posait ses questions d’une voix assez haute et il semblait à Louis que tout le monde autour d’eux pouvait entendre. Par compensation, il parlait d’une voix basse qui paradoxalement, semblait mettre Solange de plus en plus à l’aise en lui permettant de faire répéter plusieurs fois les réponses les plus gênantes.

L’interrogatoire dura une vingtaine de minutes avant que Solange ne se lève, non sans avoir précisé qu’elle le tiendrait au courant de la suite qu’elle comptait donner à ce rendez-vous. Elle lui enjoignit aussi d’attendre au moins dix minutes après son départ pour partir à son tour.

La regardant partir, Louis dut reconnaître qu’elle avait un petit quelque chose qui ne se remarque pas de prime abord, peut-être ce visage poupin affichant un sourire hésitant entre le mépris et la moquerie mais plus sûrement encore, ce regard pénétrant qui exhalait un zeste de perversité, en y repensant, elle lui faisait penser à Geena Davis (Thelma dans Thelma et Louise). L’idée de butiner ce bout de femme commençait à lui plaire. Sur la route, rentrant chez lui, Il ne pouvait s’empêcher de penser à celle qui, c’était de plus en plus évident dans sa tête, deviendrait sa Maîtresse.

Arrivé chez lui, il se précipita sur son ordinateur pour consulter ses mails. Tous les quarts d’heure, plein d’espoir, il relevait sont courrier. Enfin, en début de soirée, il reçut ce mail tant espéré, le cœur battant la chamade il l’ouvrit.

– Demain, je t’autorise à m’inviter au restaurant, passe me prendre au même endroit à midi.

Louis lut et relut plusieurs fois le message. Les événements se bousculaient dans sa tête, Cet ordre lui fit du bien, pour la première fois, il allait enfin pouvoir parler ouvertement de son fantasme et peut-être même, mais il ne voulait pas trop anticiper, mais pour la première fois, il pourrait le réaliser. Rien que cette idée lui donnait le tournis.

Il n’était pas encore trop tard pour retenir une table pour le lendemain.

Elle n’avait pas fait les choses à moitié, ou plutôt si. minijupe évasée, haut très décolleté laissant voir la naissance de ses seins, talon hauts perchés et maquillage appuyé. En d’autres temps, Louis l’aurait qualifié de pute s’il la croisait comme ça dans la rue mais ce jour là, il ne perçut que la promesse de moments excitants. Le repas se déroula le mieux du monde, le personnel, qui avait immédiatement perçut qu’il s’agissait là d’un premier rendez-vous, fit preuve de zèle, Louis multipliait les petites attentions et prévenances. Solange, quelques verres aidant, délaissait un peu le côté distant. Le repas terminé, brusquement elle annonça de son air de dominatrice.

– Tu payes et on s’en va. Allons chez toi. Normalement, si nous avions été dans endroit plus discret, je t’aurai dit de te glisser sous la table, malheureusement, ici ce n’est pas possible et j’ai envie de me faire lécher, sentir ta langue. Elle ajouta: j’ai aussi envie de pisser, ça urge !

Louis fit au plus vite, il lui fallait quand même au moins un quart d’heure avant d’arriver chez lui. Tout le long de la route, il vérifiait discrètement dans le rétroviseur qu’ils n’étaient pas suivis. Prés de chez lui, il prit des chemins détournés afin qu’elle ne puisse pas reconnaître la route si par malheur ses intentions étaient malhonnêtes. Enfin, avec la télécommande, il ouvrit le portail menant à son domicile.

Sortant aussi vite qu’il pouvait, il alla ouvrir la portière de sa passagère. Celle-ci eut un sifflement d’admiration en découvrant la maison et son environnement. Galamment, la prenant par main, il la fit pénétrer dans sa demeure. Solange resta quelques instants admirative et demanda à visiter la grande maison, avait-elle oublié son envie de faire pipi ? Lorsqu’ils furent devant les toilettes, elle lui annonça, le regardant d’un œil moqueur, qu’elle avait l’intention de les utiliser le moins possible. La visite se continua à l’étage, la première chambre donnait sur un balcon. Solange s’y rendit directement et posant ses mains sur la balustrade, admira le paysage qui se dévoilait devant elle, un grand terrain où trônait une piscine à l’abri des regards, le regard qui se perdait dans la vallée en face, au loin, un lac. Elle commenta :

– C’est superbe ici, on s’y sent tout de suite à l’aise.

Elle laissait courir son regard à droite et gauche, l’air complètement détendue, les yeux largement ouverts, comme un gosse découvrant ses jouets au matin de Noël. Louis, pas mécontent, se tenait légèrement derrière elle lorsqu’elle se tourna vers lui, un sourire carnassier sur les lèvres.

– Je me sentirais encore mieux si tu me léchais le cul.

Louis espérait et appréhendait ce moment pourtant tant attendu, ce moment où les premiers gestes d’intimité comptent énormément. Ils devaient synchroniser leurs gestuels. Se mettant à genoux derrière elle, il souleva doucement la jupette, découvrant une petite culotte en satin blanc. Il bandouillait légèrement, la crainte de mal faire l’empêchait de bander franchement. Délicatement, il fit glisser la culotte le long des jambes de sa Maîtresse et découvrit un cul bien fait, le temps avait déjà commencé à faire son œuvre mais beaucoup de jeunes filles auraient put envier ces fesses bien proportionnées et encore arrogantes.

Solange cambra sa croupe, Louis écarta délicatement les deux mappemondes pour découvrir la raie culière avec en son milieu un œillet sombre, adorablement plissée. Devant ce merveilleux spectacle sa respiration s’accéléra, son vit commençait à se trouver à l’étroit. Il posa délicatement sa langue sur le petit trou et sentit à ce moment le long frisson qui parcourut Solange.

– Ne fait pas le timide, lèche franchement, enfonce ta langue dans mon trou du cul.

Louis, enivré par l’odeur subtile qui émanait de ce lieu intime parmi les intimes, ne se maîtrisait plus, il léchait ce délicieux cul avec délectation, enfonçant sa langue dans l’antre sombre du petit trou, encouragé dans son labeur par les ondoiements et les soupirs de satisfaction de la belle. Cette dernière profitant au maximum du superbe paysage devant elle et du plaisir procuré par son lèche-cul, fit durer le plaisir, se sentant toute puissante.

– Maintenant, je veux que tu me lèches mon abricot, tout de suite, je n’en peux plus d’attendre.

Écartant les cuisses, elle aida Louis à glisser une épaule et sa tête entre ses jambes. A peine commença-t-il à lécher le sexe trempé qu’il reconnut le liquide salé qui s’insinuait sur sa langue, elle pissait, doucement, mais elle pissait. Action, réaction, son vit sembla exploser. Son fantasme se transformait en réalité, il ouvrit sa bouche en grand et la colla sur le sexe dominant pour bien démontrer à sa maîtresse qu’il était à son entière disposition, qu’elle pouvait se soulager. Le message fut reçu cinq sur cinq par Solange qui poussa avec un râle de plaisir. Louis reçut un jet puissant délivrant une grosse quantité de pisse. Il eut du mal à avaler, il manquait de s’étrangler pendant que sa Maîtresse, par à coups, se laisser aller au grand plaisir de se soulager. La situation devenait intenable pour Louis qui eut quelques hauts le cœur. Solange s’interrompit.

– Mais qu’est-ce donc que cet esclave qui postule au poste de pissotière et qui s’étrangle après trois gouttes de pipi?

– Pardonnez moi Madame, je n’ai pas encore l’habitude, et puis j’ai peut-être trop mangé au restaurant et être dans une position inconfortable sont à l’origine de l’affront involontaire. Je ferais tout pour me faire pardonner!

– Je n’ai pas pour habitude de me préoccuper du bien-être des larbins à ma disposition, tu l’ouvres et tu avales ce qui à cet instant, doit le plus précieux à tes yeux, le pipi de ta Maîtresse!… Pour cette fois, je vais être magnanime, mais sache que j’ai des grandes ambitions pour toi, je veux que tu sois capable, à terme, d’avaler ma production d’un seul trait, quelle que soit la quantité, l’heure ou l’endroit. Juste pour mon confort et le confort de mes copines, parce que, je n’ai pas encore eu le temps de t’en parler, mais j’ai bien l’intention de te proposer à mes copines. Voila le challenge, je ne veux pas perdre la face en leur présentant une mauviette incapable de les satisfaire. Je vais te dresser, et d’ailleurs, on va commencer tout de suite, te sens-tu capable de continuer? Ma vessie est encore pleine !

– Je vais faire de mon mieux. Anonna péniblement Louis.

– Ouais! Je n’ai pas trop confiance, allonge toi sur le dos et ouvre la bouche.

Louis s’exécuta, Solange l’enjamba et se positionna au dessus de son visage, régalant Louis d’un point de vue sublime. La dominatrice s’accroupit avec élégance et distinction, et quelques secondes plus tard ouvrit les vannes. Elle pissait naturellement, les premières gouttes atterrirent sur le menton du soumis, elle rectifia aussitôt le tir visant la bouche grande ouverte. Malgré ses bonnes résolutions, Louis ne pouvait plus avaler quoi que ce soit. En moins de temps qu’il en faut pour le dire, sa bouche fut pleine de l’urine d’un jaune soutenu et le trop plein s’échappait par les commissures des lèvres. Le jet qui tombait avec f o r c e dans la bouche faisait entendre un clapotis des plus agréables pour les oreilles de la pisseuse et son receveur.

Elle avait vraiment une très grosse envie de pisser, la scène s’éternisait et Louis se dit que jamais il n’aurait pu avaler une telle quantité d’urine ou quoi que ce soit d’autre d’ailleurs. La source se tarit quand même et Louis resta la bouche ouverte, pleine à ras bord de l’offrande de la jeune femme.

– Alors, qu’attends-tu? Avale!

Sous l’injonction, Louis obéit, il ne s’en croyait pas capable mais réussit à avaler y prenant même un plaisir qu’il ne soupçonnait pas.

– Maintenant, lèches ce con qui t’a donné tant de plaisir, nettoie ta Maîtresse avec amour, délicatement comme un bon esclave que tu vas devenir.

Louis obéit, les larmes lui venaient aux yeux, ému d’être pardonné et de la joie de savoir que l’aventure continuait. Il se concentra sur la noble tache qui lui était assignée. Sa bite, qui après l’épisode malheureux s’était mise en berne, reprenait de la vigueur sous l’œil pétillant et le sourire moqueur, volontairement hautain de Solange.

Solange éprouvait une grande satisfaction de se soulager ainsi, cela n’avait pourtant pas toujours été le cas. Délaissée par son mari, elle s’est laissée aller dans les bras d’un voisin compatissant. Cet homme déjà âgé était impuissant mais grâce à son écoute, sa grande douceur et sa disponibilité, il avait su vaincre les réticences de Solange. Lécheur extrêmement performant, il l’avait initiée à l’uro. D’abord dégoûtée, Solange avait petit à petit accepté l’idée de faire pipi sous l’œil de son amant et même de l’arroser.

Lorsqu’il l’avait bu pour la première fois, elle avait ressenti un sentiment étrange fait de dégoût, d’interrogation et aussi, elle dut l’avouer, de fierté. Ils recommencèrent souvent et Solange en prenait de plus en plus l’initiative. Elle perdit ses derniers scrupules le jour où par jeu et pour se composer une attitude, elle prit un air autoritaire pour ordonner à son chevalier servant de se mettre à sa disposition. Ce jour là, elle avait remarqué que plus elle était autoritaire, plus l’homme devenait servile, depuis, elle aimait voir l’empressement de cet homme lorsqu’elle claquait des doigts pour lui signifier son envie ou son caprice, les yeux exorbités et remplis de reconnaissance lorsqu’elle le gratifiait du contenu de sa vessie. Elle avait remarqué que grâce à son simulacre de domination, l’homme avait une petite érection qu’il entretenait en se branlant. Elle y avait prit goût et le fait de réussir à faire bandouiller un impuissant uniquement grâce à son pipi lui avait redonné confiance en elle. A la moindre occasion, elle utilisait son pot de chambre humain.

L’heure avait tourné et Solange décida qu’il était temps qu’il la raccompagne. Louis la raccompagna donc jusqu’à chez elle afin qu’il sache où il devait venir si elle l’appelait. Au retour, il avait toujours ce goût d’urine dans la bouche. Ce qui, chez le commun des m o r t els serait une infamie, pour lui, était un bien être qui le faisait bander, au point de ne pouvoir attendre d’être chez lui pour se branler. Il se soulagea donc tout en conduisant.

Solange ne quittait pas ses pensées pendant les jours suivants, dés que son travail le permettait, il s’adonnait aux doux souvenirs. Il n’eut pas à attendre trop longtemps. Trois jours plus tard, alors qu’il quittait son travail vers vingt heures comme d’habitude, il reçut un sms sur son portable. « Pipi urgent, je t’attend. ». Fatigué et stressé par sa journée de travail, son premier réflexe fut un mouvement de contrariété. Il se reprit très vite en se rappelant combien il avait fantasmé sur ce genre d’ordre. Il savait ce qui l’attendait et très vite se réjouit de cette façon autoritaire qu’elle avait de le traiter. Lui, qui toute la journée devait résoudre des problèmes du plus anodin au plus compliqué, dont les décisions étaient attendues par tous ses collaborateurs, était fatigué de devoir toujours trancher entre des options ou des opinions contradictoires. Avec Solange, c’était tout simple, elle ordonnait, il obéissait.

Il était presque vingt et une heure lorsqu’il sonna à sa porte espérant qu’elle avait pu se retenir jusque la.

– Enfin, il était temps, tu vas être gâté. Allonges-toi là fit-elle en lui désignant le petit couloir carrelé.

Finie la tenue sexy, Solange était habillée sans soins particulier, la ménagère au quotidien. Louis s’exécuta, la réalité était crue comme ce carrelage ordinaire, Solange agissait sans artifice pour séduire, sûre de son emprise sur ce bellâtre qu’elle traitait déjà comme son objet. Elle disparut quelques instants et revint avec une bouteille en plastique dont elle avait préalablement découpé le culot. Elle vissa le goulot dans la bouche de Louis et sans autre forme de procès fit demi-tour sur elle-même, baissa jean et culotte en même temps, s’accroupit et laissa échapper un torrent de pisse qui envahit la bouteille avec f o r c e . Le bruit du jet cognant sur les parois démontrait une grande habitude et le peu de cas qu’elle accordait à l’homme allongé sous elle.

Malgré le désir qu’il avait de satisfaire sa maîtresse, Louis ne pouvait engloutir aussi vite autant de liquide, aussi précieux soit-il. Il avalait consciencieusement en prenant garde de ne pas s’étrangler. Lorsqu’elle eut enfin terminé sa miction, Solange se releva sans remonter sa culotte, l’urine occupait encore un tiers de la bouteille.

– Tu n’as bu que ça! Il te faut vraiment de l’entraînement jusqu’à ce que tu arrives à finir dans la foulée, en attendant, j’ai bien fait de prévoir la bouteille. Dépêche toi, la petite goutte sur mon minou va sécher et après je vais sentir la crevette.

Louis se concentrait pour donner satisfaction à la dominatrice, il avala si vite qu’il n’eut même pas le temps de déguster ce liquide aphrodisiaque qui le faisait tant fantasmer. Quelques secondes plus, tard, il avait à peine tout avalé que déjà, Solange lui retirait la bouteille de la bouche, permettant par là même à Louis de se relever pour glisser sa tête entre ses cuisses pour la nettoyer. Lorsqu’elle fut satisfaite, elle remonta brusquement son pantalon repoussant le lécheur sans ménagement, le mettant ensuite sèchement à la porte non sans lui avoir précisé de venir la chercher le samedi prochain.

– Samedi à onze heures, je vais passer le week-end chez toi. Il est temps de commencer ton dressage.

Louis était abasourdi par la rapidité de la scène, moins de dix minutes s’étaient passé entre son arrivée et son départ, il avait juste eut le temps de remercier sa Maîtresse d’avoir pensé à lui. Il reprit le chemin de son domicile, les papilles complètement imprégnées du goût intime de sa belle. Même si il lui avait fallu quarante minutes pour aller jusque chez elle et autant pour en revenir, il se réjouissait d’avoir complètement oublié ses soucis, le comportement de Solange lui convenait parfaitement, la preuve, il bandait et, comme la semaine précédente, se masturba tout en conduisant.

goose69

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